Cette vidéo t'es dédiée, à toi l'affabulateur arrogant, le baltringue, le bêcheur bling-bling, le bouffon bluffeur, le cabotin chauvin, le crâneur condescendant, l'affabulateur dédaigneux, l'effronté esbroufeur, le fanfaron extravagant, le fier faraud, le frimeur fiérot qui aime la forfanterie et la gloriole, le hâbleur gonflé hautain et hardi, l'impudent infatué, le kéké mégalo, le matamore méprisant, le mytho menteur orgueilleux et ostentatoire, le paradeur pédant aussi pompeux que présomptueux, le rodomont prétentieux, suffisant, vantard et vaniteux.
Je te connais pas, mais t’es peut-être un gros mytho qui se la raconte. Et je crois pas que je t’annonce un scoop si je te rappelle que tu combles un complexe d’infériorité dont le symptôme central est ce besoin irrépressible de briller en société par n’importe quel moyen.
C’est difficile de se reconnaître gris dans un monde de paillettes, inculte parmi les savants, inconnu chez les célébrités, timide écarté par les mâles alpha.
Quoi de plus humain que de vouloir faire partie de ceux qui raflent toutes les médailles ?
Quant aux laissés-pour-compte privés de compliments, ils en viennent à s’inventer d’improbables succès qu’ils étalent dans les conversations, ne se rendant jamais compte que cette stratégie présomptueuse est si maladroite qu’elle génère très exactement l’inverse du but recherché; là où on croyait provoquer l’admiration, on recueille juste de l’indifférence ou de la moquerie.
L’arrogance est un douloureux désespoir social qui hurle “Même pas mal, ha ha ha !”,
La logique boiteuse qui motive la vanité, c'est que si on ne dit pas du bien de nous-même, personne ne le fera à notre place.
Oh, mais c'est parfois profitable de bomber le torse, c’est le principe de la pub : une photo flatteuse augmentera tes chances sur les sites de rencontre.
Un CV accompagné de diplômes prestigieux incitera les employeurs potentiels à mieux considérer ton cas.
Mais si tu photoshopes ton portrait à mort avec des filtres insta de fou furieux, ou que tu surévalues comme un malade tes compétences, ben tu finiras grillé thermostat 12 IRL.
Si on te met une couronne sur la tête, t'es un roi mais si tu te la mets tout seul, t'es un pitre.
N’est-ce pas justement parce que tu te lances des fleurs tout seul qu’on a juste envie de t'étouffer avec ?
Ramener sa fraise avec un melon gros comme ça, ça me fait penser à un chaton qui hérisse ses poils pour grossir sa queue, et qui avance de côté en grognant pour impressionner son adversaire. Ha ha ha ! il est mignon.
Même si on sait que l’humilité est un signe de maturité, on peut parfois ressentir l'envie impérieuse de se taper un bon gros shoot de frime, comme l’ado qui se saoule pour s'affranchir de sa timidité, et croire temporairement que c'est le roi du monde.
Mais c'est souvent honteux et vaseux qu'il se réveille, quand l'alcool s'est évaporé, ne lui laissant plus que le souvenir des énormités qu'il a raconté.
Observe ton propre comportement vis-à-vis des rodomonts qui sévissent dans tes parages : préférerais-tu leur demander un autographe, ou as-tu plutôt envie de les clasher pour fermer leur gueule tellement ouverte que ça fait courant d’air ?
les monsieur ou madame "je sais tout" devraient donc aussi savoir pourquoi on les évite.
Comme personne n’a jamais de les approuver, tellement ils nous pètent les burnes avec leurs phrases qui commencent toutes par “moi je”, on ne peut même pas savoir comment ils réagiraient si on acceptait de les écouter sans leur rentrer dans le chou, ne fût-ce qu'une fois.
Il y a bien longtemps, j'ai raccompagné un copain en voiture, qui en a profité pour me détailler l’inventaire de ses conquêtes féminines qui semblaient ponctuer son quotidien.
j'avais de la peine à le croire, parce qu'il n'avait ni le physique ni le charisme d’un tombeur.
Ce soir-là, je n'avais aucune envie de lui balancer en retour la version frelatée de ma pseudo-vie sexuelle. Je m’étais dit que j’allais exceptionnellement lui laisser la vedette : juste l’écouter et le féliciter pour lui faire plaisir.
Et pour lui permettre de se mettre encore plus en valeur, j’ai même ajouté qu'il avait bien de la chance, parce que moi, côté meufs, je me prenais râteau sur râteau, j’étais au bout de ma vie.
Et là, il s'est passé une dinguerie : alors que je m'attendais à ce qu’il me débite ses salades de façon encore plus frénétique - puisque c’était le but - il y a eu un grand silence… il a baissé les yeux, il s'est ratatiné dans le siège passager, et il a commencé à me raconter ses galères sentimentales.
En fait, les matamores qui se précipitent dans l’octogone des coqs de combat se livrent à une battle ridicule qui ne laisse gagner que ceux qui arrêtent de jouer.
L'athlète de haut niveau qu’on interviewe sur une compétition prochaine ne prétend jamais que la victoire est déjà dans la poche, car même si c’est le meilleur, il a déjà perdu de si nombreuses fois qu’il est mieux placé que personne pour savoir que rien n’est gagné d'avance.
A contrario, le politique à l'égo boursouflé donne l’impression de posséder toutes les clés de tous les problèmes du pays, comme si le Ciel lui avait conféré un talent visionnaire absolu.
Regarde autour de toi, tu croises régulièrement ces deux genres de personnalité : d’un côté, ceux qui restent discrets sur leurs performances, comme les sportifs que j'évoquais juste avant, et de l'autre, les "j'ai toujours raison" perchés sur leur podium imaginaire, comme les politiques.
Avec qui aurais tu le plus envie de boire un verre, Kylian Mbappé ou Manuel Valls ?
Une fois, je m'étais inscrit à un stage d'impro pour débutant proposé sur le site de rencontres sociales “Toutes mes sorties”, que je te recommande, d'ailleurs. Moi, je suis inscrit dessus dans la région de Genève. C’est pas de la pub, c’est juste un site gratuit que j’aime bien.
Une fois sur place, en attendant l'animateur, un des participant me souffle à l'oreille avec un clin d'œil “ je suis metteur en scène”... style ”je gère”... j'ai rien répondu mais je me suis dit : “Il est vraiment con, parce que s’il y a bien une chose qui ne faut pas sous-entendre à ce moment-là, c'est qu'on maîtrise un sujet sur lequel on va justement être mis à l’épreuve devant tout le monde !”
Parce que faire de l'impro, c’est pas mettre des comédiens en scène ! Si le prof le corrige parce qu’il fait des erreurs, il aura l'air mille fois plus con que si il se l'était coincé.
T’as déjà rencontré des mythos qui t'ont pris la tête avec des projets mégalos-délirants ?
Ce genre de gars que t'écoutes poliment pour pas péter son enthousiasme, et qui croit que le monde n'attend que lui pour se faire révolutionner.
Ce genre de gars qui voudrait être admiré avant d’être admirable. Remarqué avant d’être remarquable.
Vouloir de la reconnaissance avant de la mériter, c'est comme vivre à crédit : pourras-tu toujours honorer ta dette ?
Si t’as toi-même l’idée d’un projet fort ambitieux, je te conseille de d’abord ranger un peu ton esprit avant d'en parler à tout le monde n'importe comment, comme ça, si ton entreprise explose de succès - comme je te le souhaite - et bien tu passeras pour le nouveau Steve Jobs à ce moment-là.
Et si ta fabuleuse idée n’était en fait qu’un fantasme vomi par ton cerveau un soir de cuite, tu éviteras ainsi de passer pour un baltringue, c’est quand-même pas mal.
Une attitude hautaine de coq complexé ne fera pas oublier tes courbes disgracieuses de citadin grassouillet.
Pour attirer de meilleurs regards, entreprend un régime et suis-le. Inscris toi au fitness et vas-y.
Dans quelques mois déjà, tu n’auras même plus besoin d’ouvrir la bouche parce que ton corps nouvellement galbé dira de lui-même de quoi tu étais vraiment capable.
tu n'auras plus qu’à déguster les félicitations et ghoster les jaloux.
Quel que soit ton projet, qu’il s’agisse de l’ouverture d’un bar, ou du développement d’une application hi-tech, charbonne bien comme il faut en toute discrétion, pour mieux savourer ensuite l’hypothétique consécration : l’annonce officielle de l’ouverture de ton bar, ou la disponibilité de ton app dans le store.
On peut aussi se modeler un prestige factice par le biais du spirituel et du paranormal.
On appelle “Les perchés” ceux qui se positionnent au-dessus des autres en se prétendant druides, chamanes, et autres voyants et guérisseurs magiques.
Ces esbroufeurs spirituels dédaignent naturellement toute investigation rationnelle qui les démasquerait à coup sûr, tant il est commode de prétendre que la science et la raison n'expliquent pas tout.
Ces charlatans new-age sont bien plus habiles à drainer l’admiration que les fanfarons mondains car ils estiment que la foule naïve qui les suit n'est pas un simple troupeau de bipèdes lambda, mais une armée pacifique d’êtres d’exception.
Pour se rendre compte à quel point ces gourous autoproclamés pratiquent le cirage d'égo, il suffit de leur dire, même avec la plus grande bienveillance que leurs croyances te paraissent quelque peu fantasques.
ils vont d'abord te sourire comme à enfant taquin, mais si tu persistes à remettre leur bazar en question, ils en viendront à te considérer comme une entité hostile qu'il faut craindre et fuir : un malaise oppressant naîtra des sourires devenus artificiels qui te pousseront à baster pour éviter la rupture complète du dialogue ou la bagarre générale.
Il faut pas confondre la forfanterie, l'orgueil et la surconfiance.
Les vantards prétentieux se déguisent en guignol qui réussit tout, croyant naïvement que personne n’aperçoit les grosses ficelles.
L’orgueil se vit plutôt comme une susceptibilité exacerbée. Le marionnettiste secrètement blessé a les doigts figés de peur que le public se moque de son personnage.
La surconfiance ne comporte ni pantin, ni ficelle, ni malaise. C'est celui qui se drogue à n’importe quoi avant d'emprunter l'autoroute à contresens avec sa trottinette tellement il doute de rien.
Lui, il veut bluffer personne, il oublie simplement qu’on peut mourir sans avoir peur.
Il faut pas confondre l’humilité et le manque d’estime de soi; il y a une différence essentielle entre “Se croire supérieur” et “Cesser de se croire inférieur”.
Les modestes ne sont simplement pas des champions de tout, persuadés d’être des bons à rien : ils gardent simplement à l’esprit que la bonne fortune du jour peut s'ensuivre d’une ruine aussi soudaine. Et inversement.
Est-ce que tu préférerais passer pour un quidam random, laissant les autres progressivement s’apercevoir qu’au fond, tu es quelqu'un de belle valeur, ou plutôt te présenter comme la bande annonce prometteuse d’un film qui déçoit tout le monde quand on le regarde en entier ?
Tu peux très bien être fier d’une victoire ou d'une promotion sans pour autant parader comme le kéké qui fait ronfler sa Ferrari de location dans tout le quartier avec son sourire de marchand de brosses à dents.
Un diamant est toujours précieux, même caché au fond d’un coffre, au contraire du bout de verre taillé qui nécessite un éclairage calculé pour se refléter dans les yeux des amateurs d’apparat.
Exagérer son jeu d’acteur pour aspirer indûment le regard du public, ça s’appelle du cabotinage.
Les mythos du quotidien sont les cabotins de la vie qui braquent les projecteurs sur eux en caricaturant leurs histoires personnelles pour attirer l'attention sans la mériter.
La base de leurs anecdotes est souvent bien réelle, mais le mytho va introduire de plus en plus de détails fictifs pour se mettre en vedette, au point où on finit par avoir l'impression d'être dans un film de James Bond.
Tu te rappelles de “Brice de Nice” ? On croit que Jean Dujardin joue le rôle d’un champion de surf jusqu'à ce le film nous montre qu’il ne sait même pas monter sur une planche.
J'ai connu quelqu'un qui participait au service de sécurité de certains festivals.
Il m'avait notamment raconté qu'il avait effectué le service d'ordre pour un concert de Johnny Hallyday. Voyant qu’il avait capté mon attention, il a ajouté qu’il l’a croisé dans les coulisses, puis qu’ils ont discuté ensemble, ils allaient boire des coups, ils se faisaient des confidences, et si on le laisse partir en roue libre, il finissait par lui tenir la bite pour pisser et il allait chanter à sa place.
Je te connais pas, mais peut-être que tu maquilles aussi un peu ta réalité pour te faire mousser. Es-tu bien sûr de repérer l'instant où ton auditoire arrête de te suivre, puisque toi-même tu laisses parfois croire les autres que tu les crois.
N’est-ce pas dommage de polluer ainsi tes souvenirs avec tous ces détails mensongers qui te font le plus souvent passer pour un branquignol qui ferait mieux d’aller s'acheter une vie ?
Sois toujours attentif aux mots utilisés par les crâneurs parce qu'ils utilisent un vocabulaire ambigu à leur avantage pour se ménager une porte de sortie quand ils se font coincer.
Un copain m’a affirmé qu’il a dîné avec Dany Boon et ça m'a rendu si curieux que je l’ai assailli de questions au point où il a finalement été obligé d'avouer qu'il avait simplement mangé par hasard dans le même resto que lui.
C’est pas parce que tu connais des gens importants que tu es toi-même une star. A part si tu t’appelles Monica Lewinsky .
Moi par exemple, je connais un menuisier surdoué mais je suis toujours incapable de monter un meuble Ikea sans me mettre le tournevis dans l’oeil.
Je te connais pas mais peut-être que tu racontes tout azimut que la boîte dans laquelle tu n'es pourtant qu'un simple salarié repose tout entière sur tes épaules, et que tu es de loin le meilleur élément pourtant mal reconnu et dont le talent est gâché par une équipe de bras cassés.
Tu sais, les cimetières sont remplis de gens qui se croyaient indispensables.
Peut-être que tu aimes rappeler à quel point tu es le meilleur en truffant les conversations de : “Moi, à ta place… ” : “J’aurais exigé un remboursement”, “J’aurais porté plainte”; “J’y aurais crevé ses pneus”. Mais si tu fais tout si bien mieux que tout le monde, comment t'expliques ta vie si banale, aussi pauvre, aussi miteuse ?
Seuls les fous et les prétentieux se croient infaillibles. Je te prédis pas l’asile, mais de grands moments de solitude le jour où quelqu'un croira en ton expertise, et te demandera conseil pour résoudre un problème que tu ne comprendras même pas.
T'as déjà vécu ce tour de table entre amis ou tout le monde y va de son anecdote perso, chacun se sentant poussé à surenchérir sur le précédent ?
Ça commence par l’histoire de celui qui a changé tout seul ses plaquettes de freins, et ça se termine par celui qui a rattaché une aile de Boeing en plein vol avec du vernis à ongles et de la ficelle.
la fanfaronnade est si mal vue qu’il vaut parfois mieux la déguiser en fausse modestie.
Cette technique peut être utilisée de manière stratégique pour mieux convaincre : par exemple, initier un discours par "Ma thèse ne portait pas sur les virus, mais je peux vous assurer que…”
laisse vaguement entendre que nous avons malgré tout affaire à un expert émérite en infectiologie trop modeste pour le dire.
Ce procédé manipulatoire s’appelle un Chleuasme.
Plus vicieux encore : énoncer une vérité gênante avec tellement de véhémence que personne n'y accorde la moindre importance. “Oui, j’ai fait de la prison pour escroquerie en bande organisée, mais le fond d'investissement que je vous propose aujourd'hui…"
Et tout le monde écoute la suite en mettant de côté cette probable erreur judiciaire.
Cette technique d'enculé s’appelle un “hyperchleusasme”
L’arrogance qui prend des allures nationales s'appelle le chauvinisme.
Mais comment peut-on légitimer la fierté d’exister dans un pays particulier ?
En quoi as-tu participé au succès de sportifs dont le seul point commun qu'ils partagent avec toi est d'habiter dans la même zone géographique ?
Il y a deux manières de briller : soit en s’élevant, soit en rabaissant les autres.
On peut très bien faire les deux parce que la vanité s'accouple à merveille avec le mépris
Comment peux-tu imaginer que ce monde que tu toises puisse avoir la moindre envie de sympathiser avec le kéké suffisant que tu incarnes derrière la palissade mentale que tu as dressée pour te séparer de la plèbe ?
Puisque tu constates à quel point le mépris appelle le mépris, ne pourrais-tu pas supposer que le respect appelle le respect ?
On valorise, on aime, on attend celui qui valorise, qui aime et qui attend les autres.
Cette quête infinie d'admiration fonctionne comme l’eau de mer : plus t'en bois, plus t’as soif.
Cette recherche désespérée de reconnaissance fait de toi la proie idéale des flatteurs, tel que le renard de la fable qui a bien compris qu’en masturbant ton égo, tu vas lâcher ton fromage, ton argent et ta dignité.
Non seulement, la condescendance porte préjudice à ta vie sociale, mais elle plombe ton développement personnel tant que tu t'évertues à croire et à faire croire que tu es plus que tu n'es, coincé dans ta bulle d’autosatisfaction.
Comment espères-tu comprendre le monde si tu penses qu’il tourne autour de toi ?
Comment peux-tu apprendre des autres, si tu ne les écoutes que pour leur prouver que ta manière de penser est meilleure que la leur ?
Comment oseras-tu demander de l’aide si tu répètes sans arrêt que tu es autosuffisant en toute circonstance ?
Comment pourrais-tu évoluer si tu remets le monde entier en question à part toi ?
Comment peux-tu apprécier quiconque avec une empathie sclérosée par ton obsession de paraître sans jamais laisser les autres apparaître ?
Cette impression de supériorité en carton face à ce que tu appelles “Les gens” est la pire machine à déception qui soit parce que personne ne t'estimera à la valeur démentielle que tu t'es étiquetée sur le front, et tu auras bien de la peine à accepter que ceux que tu snobes d'un revers de main réussissent mieux que toi.
La dépression te guette, fanfaron.
Te rends-tu compte que sans les autres, tu n'existerais même pas ?
La femme qui t’a mis au monde, qui a épaulé tes premiers pas. Puis ceux qui t’ont appris à lire, à compter, ton métier.
Les médecins qui t'ont soigné et peut-être même sauvé la vie.
Et tous ceux grâce à qui tu as l’eau courante, l’électricité, le chauffage, ta maison, ton téléphone, les routes.
L’humilité est la seule qualité qu’on ne peut prétendre avoir sans la perdre aussitôt.
Reconnaître les conséquences néfastes d’une vanité hypertrophiée est le premier pas vers une vie au bien meilleur goût parce que l’humilité n’est pas le déni de soi, mais juste un miroir lucide proposé par le Black Coach.
Si tu préfères le discours commun de ceux que j'appelle les “white coaches” qui t'assurent que tu es quelqu'un d'exceptionnel, comme tout le monde, va les consulter, ils sont faciles à trouver, y’a que ça.
Pour ma part je pense que le faible qui assume sa faiblesse, ou le con qui assume sa connerie paraîtra toujours plus fort et plus malin que le faible qui se croit fort, ou le con qui se croit malin.
La minuscule goutte d’eau que tu représentes dans l’océan humain ne le fera jamais déborder mais elle vaut bien mieux que celle qui tombe du nuage et qui se croit supérieure parce qu'elle voit la mer de haut. Pour l’instant.
00:43 • 1. Logique boiteuse de l’arrogance
01:29 • 2. Pub mensongère
01:58 • 3. La frime nous rend ridicule
02:56 • 4. Les gueules trop ouvertes
03:36 • 5. Le faux séducteur repenti
05:01 • 6. Athlètes vs politiques
06:00 • 7. Le stage d’impro
06:49 • 8. Projets fous
07:51 • 9. Sculpte-toi en silence
08:47 • 10. Fanfaronnade mystique
10:22 • 11. Arrogance - orgueil - surconfiance
11:10 • 12. Modestie vs dévalorisation
12:18 • 13. Cabotinage et mythomanie
13:03 • 14. Dans l’intimité de Johnny
14:01 • 15. Bon appétit, Dany Boon
14:44 • 16. Irremplaçable !
15:59 • 17. Surenchère infernale
16:22 • 18. Fausse modestie (chleuasme)
17:29 • 19. Chauvinisme
17:53 • 20. Arrogance et mépris : unis pour le pire
18:41 • 21. Effets secondaires de l’arrogance
20:26 • 22. Sans les autres, tu ne serais pas
20:51 • 23. Le miroir du Black coach
Serge le Mytho : https://www.youtube.com/@SergeLeMytho
Retrouve la vidéo et le texte écrit sur mon site : http://www.blackcoach.ch/Chapitres/Chapitre074.php
www.toutes-mes-sorties.com/inscrire-4554e12h (Mon pseudo : LeeCooper)
* WIKIPEDIA :
Humilité : https://fr.wikipedia.org/wiki/Humilit%C3%A9
Mythomanie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Mythomanie
Auteur du texte et acteur : Michel Defawes (le Black Coach)
Montage : Michel Defawes
Relecture et corrections : “Les coulisses du Black Coach” sur Facebook (remerciements à tous les membres qui ont participé).
Soutien financier : toi, si tu en as envie, c’est ici : https://fr.tipeee.com/black-coach
"Echoes of Times", de Kevin Macleod (https://youtu.be/uRDDOlGlHpk)
"The end", de Coyote Hearing (https://youtu.be/GKRhFUZsHMM)
"Virtual Light", de Houses of Heaven (https://youtu.be/Bx6kpcxEmb8)
“Sea of Doom”, de Doug Maxwell (https://youtu.be/PNYGxRrVZmo)
“Barge”, de Gunnar Olsen (https://youtu.be/19QFSQ6JcuM)
“Spine Chilling Cardiac Tension”, de Biz Baz Studio (https://youtu.be/UQqJmSJ6JBI)
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